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VIH / sida

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Nos actions : VIH/sida

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Éradiquer l’épidémie du VIH/sida

Selon l’ONUSIDA, 38 millions de personnes vivaient avec le VIH en 2019, et près de 700 000 personnes sont décédées de maladies liées au sida. Bien que le nombre de décès soit au plus bas depuis 1993 grâce à l’action des gouvernements, des ONG, des agent.e.s de santé et du Fonds mondial, de nouvelles personnes continuent d’être touchées : en 2019, 1,7 millions de nouvelles personnes ont été infectées par le VIH. Elles l’ignorent parfois : près de 20% des personnes vivant avec le VIH ne connaissent pas leur statut sérologique.

Face à ces constats, nous soutenons des projets favorisant le dépistage et le traitement  des jeunes patients, adolescents et jeunes filles ; la démédicalisation de la démarche de prévention, de soutien et de prise en charge assurée par les acteurs communautaires et vers lesquelles les populations clés souvent marginalisées, se tournent plus aisément.

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Surmonter les difficultés de diagnostic et de soins

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Le diagnostic et le traitement du VIH/sida sont moins faciles et moins efficaces chez les jeunes patient·e·s, surtout durant la petite enfance et l’adolescence. Selon l'ONUSIDA, un·e enfant séropositif·ve sur deux seulement a accès aux traitements antirétroviraux dans le monde. L’Initiative leur a consacré plusieurs projets à travers ses financements.

Renforcer le suivi des enfants séropositifs

Le réseau pédiatrique international Enfants VIH-Afrique (EVA) vise à prévenir la résistance aux antirétroviraux chez l’enfant dans sept pays africains. Issu de financement de L’Initiative en 2013 et 2016, le réseau EVA a souligné l’importance d’adopter une approche spécifique pour les enfants et les adolescent·e·s.

 

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Cibler les populations clés

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Des inégalités socio-économiques favorisent toujours l’infection par le VIH : certaines des populations les plus exposées sont marginalisées, discriminées voire criminalisées, et n’ont accès ni à la prévention ni aux soins. Il faut donc construire des plaidoyers efficaces contre la discrimination de ces groupes et améliorer leur accès à des soins de qualité.

Accès à des services de santé de qualité pour les populations clés

On ne peut lutter efficacement contre l’épidémie sans orienter tous les efforts vers les communautés les plus exposées. En raison de la méconnaissance de ces publics, du stigma et des discriminations sociales, voire de la pénalisation, l’accès à la prévention combinée et à des services de santé adaptés n’est pas optimal, alimentant ainsi une « épidémie cachée ». C'est le défi que relève le projet mené par l'ONG Coalition Plus.

CIBLER LES POPULATIONS CLES
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L’Initiative est engagée à leurs côtés pour que leur parole soit davantage prise en compte dans la réponse. L’implication de la société civile et des organisations communautaires dans l’élaboration du plan stratégique préalable à une demande de financement est fondamentale. Cela garantit une plus grande efficacité des subventions et leur impact réel pour les personnes touchées par le VIH et la tuberculose.

Garantir l’intégration effective des priorités des populations clés dans la demande nationale de financement de la lutte contre le VIH et la tuberculose.

Au Cameroun, l’implication de la société civile se traduit notamment par la participation de l’ONG CAMNAFAW, bénéficiaire principal communautaire de la subvention, au processus national de construction de la demande.

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Démédicaliser le dépistage

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Nous soutenons des projets de démédicalisation du dépistage, grâce aux acteurs communautaires, afin d’étendre le diagnostic à l’ensemble des territoires et de toucher les personnes les plus éloignées des soins.

Contribuer au renforcement des stratégies de prévention, dépistage, prise en charge et suivi du VIH/SIDA et de la coïnfection VIH/TB, chez les populations clés

Madagascar se bat contre l’épidémie de VIH/sida et a adopté la stratégie du 90-90-90. Si aujourd’hui, la prévalence du VIH reste faible dans la population générale (0.2%), ce n’est pourtant pas le cas au sein des populations clés que sont les professionnelles du sexe, les hommes ayant des rapports sexuels avec les hommes et les consommateurs de drogues injectables. Ces personnes représentent les populations clés les plus exposées aux risques d’attraper le VIH de par leurs pratiques et c’est pourquoi elles doivent être aussi les premières visées par les programmes qui visent l’éradication du VIH. On dit donc du VIH à Madagascar qu’il s’agit d’une épidémie de type «concentrée» (et non pas répandue encore dans la population générale).

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Accentuer l'effort sur les adolescents et jeunes filles

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En Afrique subsaharienne, les femmes et les filles, particulièrement vulnérables, représentent 59 % de toutes les nouvelles infections. L’accès aux services de prévention, de soutien et de prise en charge leur est difficile. Le VIH est la première cause de décès des femmes en âge de procréer dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire.

 

Sensibiliser grâce à la pair-éducation

En Afrique de l’Ouest et du centre, plus de 100 000 jeunes sont infectés par le VIH chaque année. Deux sur trois sont des jeunes filles. Face à l’ampleur de la situation, le projet JADES, porté par l’ONG Solthis mise sur une sensibilisation pensée avec et pour les jeunes.

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