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Documenter la lutte contre le paludisme

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Nos actions : Paludisme

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Documenter la lutte contre le paludisme

Selon le dernier Rapport sur le paludisme dans le monde (en anglais), on comptait 241 millions de cas de paludisme en 2020 contre 227 millions en 2019. Le nombre estimé de décès palustres s’établissait à 627 000 en 2020, soit une augmentation de 69 000 décès par rapport à l’année précédente. Si les deux-tiers environ de ces décès (soit 47 000 décès) sont dus aux perturbations constatées pendant la pandémie de COVID-19, le dernier tiers (22 000 décès) reflète le changement récent dans la méthodologie utilisée par l’OMS pour calculer la mortalité palustre, indépendamment de ces perturbations.

Trois facteurs favorisent le développement de la maladie :

  • La stagnation des investissements ;
  • La résistance aux insecticides et aux antipaludiques installée dans la région du Mékong ;
  • Le changement climatique et les migrations.

Face à ces défis, L’Initiative a fait le choix de soutenir des programmes de recherche opérationnelle, afin d’améliorer les stratégies d’intervention du lutte contre le paludisme. 

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Encourager la Recherche Opérationnelle

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Selon l’OMS, la recherche opérationnelle désigne l’utilisation de techniques de recherche systématiques pour la prise de décision au cours des programmes afin d’atteindre un résultat spécifique. La recherche opérationnelle apporte aux décideurs politiques et aux directeurs techniques les éléments qu’ils peuvent utiliser pour améliorer le fonctionnement des programmes. Dans la lutte contre le paludisme, la recherche opérationnelle aide à concevoir les outils les mieux adaptés aux défis posés par cette maladie.

Entre 2000 et 2017, la lutte contre le paludisme a fait des pas de géant, avec une réduction globale des cas et des décès. Cependant, cette progression s’est arrêtée. Le COVID-19 est venu compliquer les choses, nous écartant encore plus de notre trajectoire.

RECUEILLIR DES DONNEES FIABLES ET ACTUALISEES

Grâce aux programmes de recherche opérationnelle, des données scientifiques peuvent être recueillies sur le terrain: étude des moustiques vecteurs du paludisme, examen des patient·e·s...

Collecter des données et former des chercheur.e.s

Entre 150 000 et 320 000 cas de paludisme sont enregistrés chaque année en Mauritanie. Pourtant, peu d’études épidémiologiques ont été menées dans le pays, où les données existantes étaient datées. La mise à jour des données épidémiologiques réalisée avec des outils de diagnostics fiables et des études entomologiques récentes était indispensable.

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ENCOURAGER LA RECHERCHE OPERATIONNELLE
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Améliorer les stratégies et outils d'intervention

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Améliorer les stratégies et outils d'intervention
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Les connaissances issues des projets de recherche opérationnelle permettent d’améliorer concrètement les stratégies et les interventions des programmes de lutte au fur et à mesure de leur mise en œuvre : les modes d’intervention peuvent être ajustés grâce aux résultats de la recherche.

Comprendre la transmission résiduelle du paludisme

Le projet REACT s’intéresse plus particulièrement à la résistance des moustiques aux insecticides dont sont imprégnées les moustiquaires et teste l’impact de quatre nouveaux outils complémentaires aux moustiquaires imprégnées (MIILD) sur la transmission du paludisme.

En savoir plus sur le projet

 

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Etayer les demandes de financement

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Les résultats de la recherche opérationnelle permettent d’appuyer les demandes de financements des pays et de les étayer avec des faits scientifiques. Ainsi, le Fonds mondial estime que 5 à 10 % du volume des subventions doivent être dédies à un suivi-évaluation incluant des projets de recherche.

Bénin | Identifier les freins à la protection des femmes enceintes contre le paludisme

L'étude épidémiologique "EVALMOUS 2" est le second volet d'une première étude réalisée dans les régions lacustres du Bénin sur l'utilisation des moustiquaires chez les femmes enceintes au premier trimestre de la grossesse. EVALMOUS 2, financée par L'Initiative et menée par l'IRD et l'université d’Abomey-Calavi cherche à confirmer (ou infirmer) les résultats de la première étude, en se positionnant dans 12 centres de santé sur l'ensemble du territoire. L’objectif à terme est d’appuyer le Programme national de lutte contre le paludisme dans l’établissement du Plan stratégique national 2021, notamment par l’éventuelle révision de la sensibilisation des femmes enceintes.

 

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